Un site de vulgarisation de l'Histoire de France ?...
... de promotion de notre patrimoine provincial ?

L'INITIATEUR ? POURQUOI ? COLLABORATION ? MAILING-LIST
THE INITIATOR ? WHY ? COLLABORATION ? MAILING-LIST

QUI ?

Le présent site était jusqu'à maintenant (jour de la création de cette page) l'oeuvre d'un homme seul, autodidacte, sans moyens financiers, sans aide quelconque à ce jour de la part d'aucun organisme public ou privé. (Les sponsors sont les bienvenus !)

Je signale cela au zèlé fonctionnaire des impôts qui m'a déjà envoyé un "formulaire de déclaration de droits d'auteurs"... (Qu'il soit rassuré, je ne donnerai pas son nom ici, mais il doit réviser sa copie !) Dans son empressement à encaisser, il n'a certainement pas perçu ;-) que la publication sur Internet, c'est beaucoup de travail mais aucun revenu direct tiré de droits de parution. Que ce fonctionnaire revienne donc quand l'édition française en ligne bénéficiera de l'aide de l'état qui serait légitime pour encourager l'expansion de la francophonie et de la culture française sur Internet ! J'espère cependant qu'il a pris du plaisir à me lire, même si la réciproque n'est pas vraie !...


Cette parenthèse fermée, une présentation est-elle vraiment nécessaire ? Oui ? Vraiment ? Alors, voilà :
Le webmestre de ce site et l'auteur des textes qui y sont contenus à ce jour (24 septembre 1998) à l'exception des textes anciens, se nomme de son vrai nom Jacky Minier, il a passé le demi-siècle et c'est votre serviteur. (Mesdames, mon email c'est : royalement-votre
, mais pour être honnête, la photo a déjà quelques années !... ;-))

Guillaume Beauparlant est un nom de plume qui m'a paru évident pour conter l'Histoire de France sur Internet, et spécialement celle du Val de Loire, dans la langue du "Pays du Beau Parler". (Bonjour la francophonie !)

Je n'étalerai pas ici mes titres de doctorat ou d'agrégation en histoire, je n'en ai aucun, et ça n'empute aucunement ma capacité d'analyse, au contraire, n'ayant jamais eu à me défaire d'oeillères pour voir le monde tel qu'il est. Je sais lire et je crois savoir un peu écrire (?), je connais quelques langues saxonnes et latines, et il se trouve que j'ai dû pour d'autres impératifs apprendre les arcanes de l'informatique.

Si j'emploie le plus souvent la formulation plurielle "Nous" au lieu de "Je", ça n'est pas par tradition royaliste. C'est sans doute pour avoir la sensation de me sentir moins seul dans cette aventure d'une part, d'autre part parce que je suis aussi le gérant de la sarl DIAM qui entretient ce site, sa connexion Internet, ses moyens techniques divers, et les frais de son hébergement. Je me sens donc obligé de parler aussi au nom de cette "personne morale" qui joue le rôle d'éditeur (gratuitement, je le signale au zélé fonctionnaire ci-dessus évoqué).
Les seules ressources financières pour cet énorme entreprise de vulgarisation de l'Histoire et de promotion touristique des régions proviennent des pages commerciales que nous proposons dans notre rubrique "Bonnes Adresses". N'hésitez donc pas à utiliser ce moyen pour promouvoir votre région, votre commerce, ou votre château. Le principe mis en oeuvre est simple : plus il y aura d'annonceurs, plus vite le site s'étoffera d'autres histoires et de leurs traductions, plus il attirera de visiteurs, et plus votre objet de promotion sera connu (et réciproquement).
Si certaines instances locales telles que régions, départements, communes, souhaitent participer au développement de ce concept, nous sommes à leur disposition pour leur envoyer un dossier de partenariat.

Toutes demandes de renseignements à : royalement-votre

POURQUOI ?
Ce site est exclusivement consacré à
L'HISTOIRE de FRANCE
et au
TOURISME PROVINCIAL

La civilisation du loisir laissant à la Culture du champ pour s'épanouir, de nombreuses couches de population dans nos pays dévéloppés ont maintenant le temps de se pencher sur leurs racines. C'est un constat évident aux USA et au Canada, ainsi que parmi les retraités européens, mais pas seulement là. L'expérience révèle que beaucoup d'adultes d'aujourd'hui montrent (il n'est jamais trop tard pour bien faire !) un intérêt pour l'Histoire et la Culture - intérêt que n'avaient pas toujours su susciter chez eux leurs "maîtres d'écoles" ou leurs professeurs lorsqu'ils étaient encore enfants -. Etait-ce dû à une mauvaise pédagogie, un manque de "vie" dans la manière de conter l'Histoire, ou simplement un manque de conviction des élèves quant à l'intérêt qu'on peut trouver à la connaissance du passé ?... Ce fut notre cas, avouons-le humblement, jusqu'au jour où un écrivain de talent (pourquoi ne pas le nommer, il s'agissait de Louis Charpentier) nous fit découvrir au travers de ses ouvrages une vision de l'Histoire bougrement plus attrayante que celle qu'on nous avait inculquée en classe. Le virus était attrapé. Dans les quelques dizaines d'années suivantes, les livres d'Histoire ne nous sont plus tombés des mains, et nombre d'aspects obscurs ou de passages escamotés par l'enseignement traditionnel ont trouvé leur place dans la grande fresque. Il reste encore de nombreuses pièces à insérer dans le puzzle, et nous ne prétendrons pas ici apporter un enseignement à quiconque mais nous avons, en tous cas, appris une chose : il faut souvent fouiller sous les scories de la politique et des autodafés pour retrouver la véritable Histoire.
Si vous grattez les apparences, les dessous sont parfois affriolants, mais sentent aussi bien souvent mauvais... Heureusement, pas toujours !
Il y eut aussi dans les temps jadis des hommes de bien, des héros civilisateurs, des "chevaliers blancs" qu'on a quelquefois noircis à souhait, selon le bon plaisir ou les intérêts personnels des princes du temps... Le problème est que ce ne sont pas forcément ceux que l'université a mis en avant, ou quand on parle des mêmes c'est parfois pour de toutes autres raisons que celles données dans les manuels. En la matière, il y a le savoir admis et enseigné, et le savoir "ignoré". Quelquefois, il n'y a même plus aucun savoir du tout parce que les princes de certaines époques ont fait disparaître toutes preuves embarrassantes pour leur lignée. Mais l'histoire est tenace. Il est toujours possible de retrouver des traces par d'autres recoupements liés à la mémoire des lieux et des peuples.

Bref, si le tableau n'est pas toujours aussi glorieux qu'on l'a parfois vanté, il n'est pas non plus aussi noir ni aussi sanglant qu'on l'a trop souvent résumé. Il est par contre bien trop focalisé sur l'histoire vue depuis la cour du Louvre, et privilégie outrageusement le rôle de la capitale. La réalité provinciale n'a que peu de rapport avec cette histoire-là.

Il faut considérer en effet :
- que l'Histoire n'est valablement racontée que par ceux qui l'ont vécue, faite ou soufferte, qu'ils en aient été les acteurs ou les héritiers, et qu'il n'existe pas UNE réalité historique "officielle", que celle-ci émane d'un "oppresseur" ou d'un "oppressé", mais une somme de multiples réalités historiques, diverses et parallèles, parfois convergentes...

- que ces "Histoires" ne se décrètent pas "canoniques" ou "interdites" par simple disposition de quelques mandarins spécialement agréés par les ministères de l'éducation successifs (comme de nombreux pouvoirs dès avant Charlemagne et jusqu'à nos récentes républiques ont voulu le faire accroire à des générations d'écoliers), mais qu'elles méritent toutes au moins l'examen...

- qu'enfin, la "théorie du chaos" s'applique tout autant à l'Histoire qu'à la météo, et que chaque habitant des provinces de ce vieux pays a joué un rôle plus ou moins important dans le déroulement de l'Histoire globale, du simple colporteur au connétable de France. De nombreuses grandes figures de province ou d'autres plus anonymes ont ainsi pesé sur les destinées de la France depuis qu'on la nomme telle, parfois même sans qu'un instant elles en eussent pris conscience de leur vivant. Ainsi, si l'on enseigne encore le nom de Parmentier qui importa la pomme de Terre en france, ou celui de Jacquart pour les métiers à tisser, on a par contre totalement oublié le nom de celui qui introduisit le collier de cheval, celui de l'inventeur du pressoir à vis, ou de l'importateur de l'almanach arabe, qui mériteraient tout autant notre gratitude. Ils étaient sans doute des anonymes, simplement plus observateurs ou ingénieux que d'autres...

Nous n'avons aucunement ici l'intention de jouer les révisionnistes en reniant des faits patents, mais au contraire de jouer si possible les révélateurs en recherchant à leurs racines locales les causes, souvent ignorées ou négligées par l'enseignement classique, d'évènements majeurs qui ont marqué l'Histoire nationale. En rapprochant des situations et des personnages, des cultes et des cultures, des idées et des mouvements, et en tâchant d'en comprendre les motivations quand les explications académiques "officielles" apparaîssent insuffisantes.

"Ce sont les vainqueurs qui écrivent l'Histoire !". Cette sentence bien connue, attribuée à Napoléon, résume parfaitement l'état de fait que le propos de ce site est de dénoncer : L'Histoire de France, comme toutes les Histoires, est ainsi pleine de moments, de personnages et d'évènements estompés, voire gommés, à la fois par les "biographes-à-titrés" et les "Saints-Simon de basse-cour", tandis que des vérités sont souvent révélées par des poètes crottés ou des adversaires politiques en exil. Nombreux sont les exemples dans les deux cas, de Villon à Zola en passant par bien d'autres.
L 'Histoire n'est pas une science, c'est est une discipline très "relative". Si plusieurs révolutions, grandes ou petites, ont parfois rectifié quelques vérités officielles partisanes, ces rectifications elles-mêmes ont souvent été sujettes à des débordements contraires : ainsi, l'école républicaine de Jules Ferry, anticléricale en diable, a largement minimisé quand ça n'est pas passé sous silence, les bienfaits civilisateurs qu'avaient apportés avant elle et depuis des siècles des générations de moines sincères et désintéressés dans les écoles monastiques et les abbayes, tout en ne manquant pas de dénoncer la monstrueuse manipulation des consciences conduite pendant ce temps par certaines branches de l'Eglise que l'on n'hésiterait pas à qualifier aujourd'hui d'intégristes ou de fanatiques si elles dépendaient d'une autre culture.

Il aura tout de même fallu attendre 1991 (cinq siècles ! mauvaise "foi" caractérisée ? ;-) pour que l'Eglise admette enfin (il n'est jamais trop tard pour bien faire...) que la Terre était ronde et tournait, et que Galilée avait raison contre le dogme établi !... Il faudra bien accepter un jour de dire qu'elle fut vraie, aussi, cette manipulation, sous diverses formes et à de nombreuses périodes de l'Histoire, mais il ne faut pas pour autant jeter le bon grain avec l'ivraie : la chrétienté a souvent apporté un flambeau dans certaines zones obscures de la conscience humaine, même si certains obscurantistes ont également sévi au nom de cette même foi en portant eux aussi un flambeau, mais au pied des bûchers ou des autodafés !... ALLELUIA ! mais aussi MEA CULPA (et VICE-VERSA). A notre époque, feu Sa Sainteté Jean-Paul II (paix à son âme !) a fait acte de contrition publique et demandé pardon à tous les peuples et victimes de persécussions diverses (et notamment de l'inquisition) menées par l'Eglise au nom de la Chrétienté. Soit ! Que les mânes de ces victimes pardonnent à leurs bourreaux. Mais quand Jean-Paul II demande à tous les chrétiens de s'associer à lui pour demander ce pardon à titre collectif, désolé Votre Sainteté, je ne me sens pas concerné !... En quoi serais-je responsable des exactions et persécussions conduites par ceux de ses prédecesseurs qui n'avaient d'autre but que le Pouvoir sur les consciences de leurs contemporains ? Je considère que ma place serait plutôt au rang des victimes, à cause de l'empreinte indélébile que cette institution a appliquée à notre culture, et je dois dire que j'ai du mal à lui pardonner à Elle ! Non pas que je sois anticlérical par nature ou que j'ai envie de "bouffer du curé", non non. Simplement, j'en ai assez de 2000 ans de mensonges... J'espère donc que la prophétie de Saint-Malachie s'accomplira et que son successeur, le prochain père spirituel de l'Occident sera bien le dernier du genre. Qu'il accomplira tout ce que n'ont pas accompli ses pères et remettra la Vérité en lumière, enfin, si toutefois elle n'est pas morte depuis si longtemps au fond de son puits !... Espérons qu'il s'agissait d'un puits de lumière !...

L'Islam des premiers siècles a d'ailleurs longtemps joué un rôle comparable, portant une civilisation et une hygiène de vie (mentale et physique) remarquables en de nombreuses zones du globe avant que de sombrer à son tour dans des schismes et des fanatismes exacerbés (dont nous voyons malheureusement encore de tristes exemples aujourd'hui) qui conduisirent à l'opposer au christianisme comme à l'hébraïsme, alors que ses sources sont de même inspiration.

La maîtrise des consciences et son détournement à des fins de domination sont la tentation permanente des pouvoirs temporels dans toutes les sociétés quelles qu'en soient les philosophies.
La Maçonnerie elle-même, comme toute institution humaine et malgré son a-dogmatisme affiché, vécut plus d'une fois quelques débordements. En fait, tous les systèmes organisés tendent à tirer la couverture à eux ou à pervertir la présentation des réalités...

La Vérité est donc fort complexe et il faut la débusquer sous des monceaux de demi-mensonges et d'omissions opportunes plus ou moins officialisés par les générations successives de directeurs de consciences et de chroniqueurs partisans. Nous ne prétendons certainement pas avoir trouvé cette Vérité, mais nous espérons que cette démarche, qui cherche à reprendre les faits et les causes à leur base, nous en rapprochera.

Géographiquement, la régularité hexagonale dont nous sommes si fiers est un avatar récent au regard de l'histoire de notre pays. À l'horloge de l'Humanité, la forme qu'on s'accorde aujourd'hui à reconnaître à la France date d'hier.
Des provinces comme la Bourgogne ou l'Aquitaine, la Provence ou la Savoie, la Franche-Comté ou la Bretagne, ont longtemps fait bande à part et joué leurs partitions privées dans le concert national et patriotique qu'on nous présente. Les "couacs" inélégants de leur disharmonie ont fait bien plus de dégats au cours des siècles que les quelques pétards troublant par moment nos départements corses ou basques d'aujourd'hui.
Pendant des siècles, ces "provinces" étaient en fait des états complètement indépendants par rapport au Royaume de France, et même si des mariages politiques arrangés liaient certains de leurs princes au trône de France, leur intégration à "La France" n'était pas plus réelle pour eux que celle de l'Angleterre. Après tout, les rois d'Angleterre aussi, étaient vassaux du roi de France, et l'on oublie trop souvent que Richard Coeur-de-lion parlait français naturellement, que de toute sa vie, il ne passa guère que deux ans en Angleterre... Est-ce que l'on intègre l'histoire d'Angleterre quand on enseigne l'Histoire de France aux écoliers ? Non, on se contente de leur signaler les limites du minuscule royaume français de cette époque. Pourtant, aujourd'hui, l'Aquitaine est bien partie intégrante de la France hexagonale ? La Bourgogne aussi ? La Provence également ? Il nous faut donc étudier LEURS histoires SÉPARÉMENT, comme autant d'éléments convergents et complémentaires, mais différents de l'Histoire du Royaume de France. Seule cette manière de revoir l'Histoire peut nous permettre de comprendre les personnages et les évènements qui expliquent les vestiges, les châteaux, les bastides, c'est-à-dire les monuments locaux de ces provinces éloignées de Paris, lesquels ont souvent été construits pour se défendre CONTRE la France !...

Ah ! évidemment, Paris, c'est différent ! Le Louvre, Versailles, Saint-Denis ou Notre-Dame font partie depuis toujours du Royaume de France, en constituent le noyau depuis Clovis. Pas besoin, pour ces lieux, de refaire l'histoire... c'est la leur qu'on enseigne depuis des siècles, au grand détriment des autres réalités historiques territoriales. Ces autres auraient-elles moins d'importance ?...
Au temps de l'intégration européenne, il était temps de remettre les pendules à l'heure :
Les provinces n'ont pas la même histoire que Paris. Leurs monuments, témoins de leurs passés spécifiques, doivent être mis en valeur par leurs histoires spécifiques. C'est la réunion et la convergence de toutes ces histoires parallèles qui constitue la richesse de notre patrimoine. Sans vouloir susciter de nationalismes régionaux étroits d'esprit, il était tout de même essentiel de remettre en perspective les particularités culturelles et historiques de chacune de ces provinces, qui concourrent aujourd'hui à la richesse de l'ensemble de la nation.

Parmi les 85 millions de visiteurs que reçoit la France chaque année, la plupart se bornent à visiter Paris, les Champs-Elysées, la Tour Eiffel, Versailles, et Notre-Name, avant que d'aller s'encanailler dans une tournée de Paris-by-Night, ou de filer directement sur la Côte d'Azur.
Très peu profitent de l'incroyable potentiel historique des provinces françaises, et quand ils le font, c'est superficiellement.

On constate en effet trop souvent que les visites organisées des monuments du patrimoine français sont faites au pas de course, pour voir en un minimum de temps le maximum de lieux, trop souvent sélectionnés pour leur seule esthétique architecturale par les organisateurs de "voyages en kit", sans prendre le temps de s'imprégner de l'atmosphère de leur passé ni tenir aucun compte de la relation historique existant ou non entre les uns et les autres à l'intérieur d'un même programme de visites. Il en résulte qu'à moins qu'ils ne soient historiens, la plupart des touristes repartent chez eux sans avoir compris l'intérêt historique des lieux qu'ils ont visités.
Pourtant, quand on les sollicite, les vieilles pierres parlent ! Elles racontent, elles charment leur auditoire en lui faisant partager leurs secrets... Ceux-ci sont souvent à l'origine de notre manière de vivre, de notre Culture, quand ça n'est pas de notre CIVILISATION !

Nous avons donc essayé ici de remédier à cette lacune en offrant aux touristes potentiels la possibilité de s'instruire D'ABORD de l'immense richesse de l'Histoire de France attachée à ces lieux, et ainsi de mieux préparer, en amont, leur voyage au cœur de la France profonde.

Cet ouvrage sous forme numérique en hypertexte a été écrit pour eux. Il peut être utilisé à la fois comme un MANUEL d'Histoire des provinces françaises et comme GUIDE touristique à l'intention de tous les visiteurs curieux de découvrir l'une ou l'autre partie de la France (spécialement à l'intention des descendants de français émigrés qui souhaitent retrouver leurs racines). Nous l'avons voulu comme une grande fresque de l'Histoire de France et nous espérons qu'il sera lu avec le même plaisir qu'un roman.

 

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Il fallait pour cela un outil de recherche et de communication permettant aux chercheurs sincères (agrégés d'Histoire ou pas car, contrairement à la physique ou aux mathématiques, en l'occurence un diplôme en Histoire ne justifie que de la transmission d'un bagage suspectable hérité de prédécesseurs soumis aux pouvoirs de leurs temps), de proposer leurs points de vue et leurs arguments sans risque de censure ministérielle, fut-elle d'un gouvernement du troisième millénaire (censure devenue impensable aujourd'hui... mais restons vigilants !).

Et voici que l'Internet offre cette merveilleuse possibilité de forum, une place publique ou chacun peut partager ses traditions et comprendre celles qu'ont recueillies les autres. Profitons-en !

Chaque château, chaque monastère, chaque halle, chaque grange de France, épargnés par un lourd passé troublé de guerres, de querelles religieuses, d'invasions ou de révoltes paysannes, a sa propre histoire à raconter. Pas celle des historiens académiques, non non ! Celles de leurs habitants, les hobereaux, les moines, les roturiers et les vilains ! Bref, LES VERITABLES HISTOIRES DES FRANCES !...

 

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Ce site tente de raconter l'Histoire, LES Histoires régionales, de manière objective et sous forme interactive, tout comme l'histoire inter-régionale elle-même s'est construite au fil des siècles. C'est une entreprise assez folle et de longue haleine. Les hypothèses et théories les plus classiques ou les plus inattendues sont et seront exposées. Mais l'auteur principal qui signe Beauparlant (c'est moi :)) ne connait pas tout, loin s'en faut ! Des rectifications seront donc apportées quand cela s'avèrera nécessaire, sur la base de renseignements que vous-même, lecteurs, pourrez nous fournir sur vos régions... N'hésitez donc pas à porter la contradiction (ou au contraire déposez vos louanges ;-), soit sur le livre d'or, soit dans les "tablées" de discussion, soit encore par des articles que vous pouvez envoyer par email à propos d'une région ou d'une autre. Le principe essentiel de ce site est d'être ouvert à toutes les observations constructives.

Initialement hébergé à Orléans, l'ancienne capitale du vieux royaume mérovingien au coeur du Val de Loire et parmi les innombrables châteaux princiers, nous avons dû le déménager à la suite du dépôt de bilan du premier hébergeur. DIAM l'a maintenant installé sur son propre serveur aux USA. Ainsi va la mondialisation...
Les mises à jour sont fréquentes. Si vous voulez être tenu au courant de l'évolution du site, donner votre avis ou en recevoir émanant d'autres chercheurs sur des points d'histoire de votre région, bref, approfondir la connaissance et la compréhension de notre passé, inscrivez-vous sur notre mailing-list
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Si vous avez des questions, des remarques, des idées pour faire évoluer le site ou même contribuer à son évolution, tenir une rubrique... n'hésitez pas à m'envoyer un mail. Réponse assurée en français ou en anglais (pour les autres langues, laissez moi le temps de les apprendre ! ;-)).

 

 

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It is the purpose of this site to relate the regional history and histories objectively and interactively, just as the history of the regions of France has itself taken shape over the centuries. It's an ambitious and time-consuming task. Both the most orthodox and the most unusual hypotheses and theories will be featured here.

As editor and manager, I use the pen name Beauparlant ( it's me ! ;-). I don't know everything, far from it! Corrections will be made when and if necessary, and you are cordially invited to submit information about your own regions.
Please feel free to contradict the postings or to send a word of praise ;-). You may use either the guestbook or the discussion forum .
We also welcome any articles on the various regions of France that you may wish to send by e-mail: . The guiding principle of this site is that it is open to all constructive comments.

This site is located in Orleans, the capital of the old Merovingian kingdom. Today it is a regional capital and a long-time rival of the city of Tours, in the heart of the Loire valley, in the chateau country. But it could be located anywhere in France or Europe, since the history of France is in large part Europe's history, too. The site is updated frequently. If you would like to keep up to date on the progress of the site, give your opinion or find out others' ideas on the history of your region, in short, learn more about our history, please subscribe to our mailing list (Liste-Publipostage).

If you have questions, comments or ideas for the improvement of the site or if you would like to help build it or edit a page within it, please let me know by e-mail. I can answer in French or English, but if you write in any other language, I'll need some time to learn it. :-)

Beauparlant

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Remerciements

Nous tenons à souligner ici, et à l'en remercier grandement, le travail d'un de nos visiteurs : Don Webb, résident canadien devenu un ami depuis, qui assure aimablement et gracieusement la traduction anglaise. Don est un professeur de Français à la retraite qui m'a proposé cela par sympathie pour le projet au départ, puis pour moi-même sans doute maintenant... Merci Don, de l'application pointilleuse dont tu fais preuve dans le respect des textes et du sens. Nos visiteurs anglophones doivent savoir que c'est toi qui en as le mérite.
Je signale à ces mêmes visiteurs anglophones que l'épouse de Don, Dana, tient une école de français interactive sur le Web ( très efficace ! ) dont voici l'adresse :

http://www.open.uoguelph.ca/fren1090/ . ( Login : "guest", Password :"fall99" aux dernières nouvelles, mais si ça ne marche pas demandez à Dana )
Nous aimons encourager les beaux projets, surtout si ça permet à des étrangers de mieux comprendre notre culture.

Si des spécialistes d'autres langues sont disposés à participer à cette entreprise, qu'ils n'hésitent pas à nous le faire savoir...

 

Greatings

We would like to thank one of our visitors for his help: Don Webb, a professor of French living in Canada, has been working on the English translations. Don originally volunteered first out of interest for the project and then as a friend. Thanks, Don, for your painstaking work and respect for the original texts !
I would also like to mention that Don's wife, Dana Paramskas, has authored a very interesting and effective on-line course in French for reading knowledge based at the University of Guelph. The course is a pioneering effort in the use of the Internet for distance education and is part of the University curriculum. It has already been taken successfully for credit by a class of fifty students.
Visitors may tour the site and even take the practice exams:
http://www.open.uoguelph.ca/fren1090/. ( Login: "guest", Password:"fall99" ).
The URL or login/password may change; queries may be sent to Dana Paramskas.

We like to encourage the great projects ! Specially when they allow to strangers the learning of the french culture...
(Don had not translated that last black sentence ! I did it. His modesty will suffer ... Too bad Don ! ;-))

If specialists in other languages would like to participate in this undertaking, I would very much like to hear from you.

Beauparlant